Communiqué de presse 

Philippe Gosselin a saisi, le 20 novembre dernier, le directeur Basse et Haute-Normandie de la SNCF, afin de déplorer, une fois encore, la forte dégradation, depuis quelques mois, des conditions de voyage sur la ligne Corail intercités Paris-Cherbourg.

« Il s’agit des retards, qui se multiplient, dont les conséquences personnelles et professionnelles pour les usagers peuvent s’avérer plus ou moins graves. Ces retards sont, quoiqu’il en soit, profondément épuisants, physiquement et nerveusement, tant les usagers ont le sentiment de n’avoir aucune influence sur la « machine » SNCF et d’être, finalement, bien peu considérés.
Il s’agit, aussi, des conditions à bord. La propreté des wagons laisse à désirer, et les services sont désormais inexistants. »

Lui-même usager régulier de la ligne Paris-Cherbourg, le député partage le mécontentement dont l’Union des usagers Paris-Caen-Cherbourg (UDUPC), qui collecte les témoignages des voyageurs, se fait la porte-parole auprès des élus.

De guerre lasse, Philippe Gosselin conclut ainsi son courrier. « Doit-on abandonner le train pour reprendre la voiture ? »